Nos « jeunes anglos » et le futur…
Par Marie-Claude Ducas, Le Journal de Montréal
Je me suis pincée en lisant cet article dans The Gazette la fin de semaine dernière, pour être sûre que j’étais bien en 2014. Et non en 1994. Ou en même en 1984…
Voici quelques passages (la traduction est de moi):
«Les éléments les plus brillants de la communauté anglophone aimeraient demeurer au Québec, mais trouvent leur avenir ici trop incertain, selon une étude récente. L’étude montre aussi que les anglophones sont plus susceptibles de s’estimer victimes de discrimination basée sur la langue que les membres de la majorité francophone. »
L’étude en question, dont les résultats préliminaires ont été présentés lors d’une réunion du Quebec Community Groups Network (QCGN). a été menée par Richard Bouhris, professeur au département de psychologie à l’UQAM, et faisait dire à ce dernier: « Les deux solitudes sont encore là, d’une certaine façon.»