Archive d’étiquettes pour : Projet de loi C-32

Vue arrière sur 2021 : De nouvelles turbulences sur la langue au Québec

L’année 2021 a été marquée par un renouveau du débat sur l’état de la langue française au Québec. Et il n’est pas terminé.

La préoccupation immédiate de la communauté anglophone est le projet de loi 96, que le gouvernement de la CAQ veut faire adopter avant les élections provinciales d’octobre 2022.

« Au fond, le projet de loi 96 est une tentative de délégitimer notre communauté », a déclaré Marlene Jennings, présidente du QCGN, dans une lettre de fin d’année adressée à ses membres. « Le projet de loi dénature la Charte de la langue française, en tentant de la rendre excluante et source de division ».

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La commission du Sénat souligne les points clés du document sur la réforme linguistique

Avant que le gouvernement fédéral ne dépose le projet de loi C-32, Loi pour l’égalité réelle du français et de l’anglais et le renforcement de la Loi sur les langues officielles, le Comité sénatorial permanent des langues officielles a étudié le document original de réforme proposé.

Bien qu’il n’ait pas pu se réunir au Sénat, le comité a réussi à tenir deux réunions pour étudier le document qui divise, en collaboration avec la ministre fédérale responsable des langues officielles, Mélanie Joly, et le Quebec Community Groups Network (QCGN).

Et si le QCGN a reconnu l’importance de protéger les communautés minoritaires de langue française au Canada, il a également exprimé des inquiétudes quant aux effets que le document de réforme aurait sur la population minoritaire de langue anglaise au Québec.

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Le projet de loi C-32 vu par les anglophones du Québec

Le projet de loi C-32, qui modifie la Loi sur les langues officielles, a été accueilli favorablement par les groupes représentant les communautés francophones hors Québec. Du côté des anglophones du Québec, cet accueil est beaucoup plus mitigé, même si la majorité de leurs inquiétudes se concentrent sur le projet de loi 96 du gouvernement du Québec (la réforme de la Loi 101).

Francopresse s’est entretenu — en français — avec Marlene Jennings, présidente du Québec Community Groups Network (QCGN).

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Joly et Skeete abordent l'”anxiété” linguistique

La ministre fédérale des langues officielles Mélanie Joly et le député Christopher Skeete, adjoint parlementaire du premier ministre François Legault pour les relations avec les Québécois d’expression anglaise, tentent de rassurer les membres de la communauté anglophone préoccupés par la législation linguistique récemment déposée.
Skeete et Joly ont pris la parole le 22 juin lors d’une conférence organisée par le Quebec Community Groups Network (QCGN) intitulée “Notre place au Québec et au Canada”.
Le QCGN a exprimé des objections au projet de loi 96, déclarant que le projet de loi “crée une zone de non-droit” au nom de la protection du français et impose des obligations de conformité strictes aux petites entreprises et à certains plaideurs devant les tribunaux.

 

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LANGUES OFFICIELLES : UN BILAN DE SESSION MITIGÉ

De leur côté, les Anglo-Québécois rejettent eux aussi le projet de loi C-32, mais pour des motifs totalement différents de ceux du Bloc Québécois.

L’approche asymétrique du projet de loi C-32, qui reconnait le français comme la plus menacée des deux langues officielles du pays, est « une attaque claire contre l’égalité des langues officielles du Canada », selon le Quebec Community Groups Network (QCGN)

« Traditionnellement, la Loi sur les langues officielles donnait vie aux droits constitutionnels en matière de langues officielles. Ces droits définissent en grande partie la relation entre les Canadiens et notre gouvernement fédéral. La Loi a été fondée sur le principe que le français et l’anglais sont égaux en droit », déclare le QCGN dans un communiqué publié plus tôt cette semaine.

 

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Hanes : La conférence du QCGN révèle le plan de match pour s’opposer au projet de loi 96

Les anglophones du Québec ont toujours marché sur une corde raide lorsqu’il s’agit de faire valoir leurs droits.

C’est l’énigme à laquelle la communauté anglophone du Québec est confrontée dans ce qui pourrait être le combat de sa vie – même après 50 longues années de guerre linguistique.

Les deux projets de loi – le projet de loi 96 et le projet de loi C-32 – ont fait l’objet d’une conférence virtuelle mardi intitulée Our Place in Quebec and Canada. Organisé par le Quebec Community Groups Network, le principal groupe d’encadrement représentant les anglophones de la province, l’événement a révélé le plan de match pour s’opposer au projet de loi 96, qui a été présenté en mai mais ne fera pas l’objet de consultations avant l’automne.

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Que signifient les nouveaux projets de loi sur la langue pour les Québécois anglophones ? Un groupe de défense des droits veut le savoir

Un groupe de défense des droits des anglophones examine les conséquences du projet de loi 96 du Québec et du projet de loi C-32 d’Ottawa pour la communauté anglophone de la province.

Le Quebec Community Groups Network a organisé une conférence mardi matin à laquelle ont pris part des participants d’Ottawa et de Québec.

La ministre fédérale des Langues officielles, Mélanie Joly, a défendu le projet de loi C-32, qui prévoit le renforcement de la Loi sur les langues officielles.

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Les Anglo-Québécois entendent lutter contre la loi 96

C’est avec un discours et une stratégie de minorité assiégée que la communauté anglophone québécoise entend lutter contre la loi 96 du gouvernement caquiste, qu’elle estime être une atteinte à ses droits à plusieurs égards.

Sous le parapluie du Quebec Community Groups Network, quelque 150 personnes ont assisté lundi soir et mardi avant-midi à une conférence sur le sujet. Mardi, la ministre fédérale responsable des Langues officielles, Mélanie Joly, et l’adjoint parlementaire du premier ministre François Legault pour les relations avec les Québécois d’expression anglaise, Christopher Skeete, ont livré des allocutions et les participants ont pu ensuite prendre connaissance de résultats préliminaires d’une enquête et écouter les discussions d’un panel sur le sujet.

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La réforme de la Loi sur les langues officielles suscite des réactions mitigées

jour de la Loi sur les langues officielles, le projet de loi C-32. S’il est adopté, le projet de loi entraînera les premiers changements apportés à la loi depuis 1988, mais dans les jours qui ont suivi son introduction, la législation proposée s’est déjà attirée les critiques d’un certain nombre de groupes, dont le Quebec Community Groups Network et son organisation membre, l’Association des Townshippers.

Le projet de loi C-32 a été présenté mardi par Mélanie Joly, ministre du Développement économique et des Langues officielles du Canada, comme une démonstration claire de l’engagement du gouvernement fédéral envers cinq communautés linguistiques spécifiques : les francophones hors Québec, les anglophones au Québec, les francophones au Québec, les anglophones hors Québec et les communautés linguistiques autochtones.

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L’Association des Townshippers réagit au projet de loi C-32

En réaction au dépôt du projet de loi C-32, l’Association des Townshippers a publié un communiqué de presse dans lequel elle reconnaît que, bien que la loi contribue grandement à accroître la reconnaissance et le soutien des communautés francophones du Canada à l’intérieur et à l’extérieur du Québec, la communauté minoritaire anglophone du Québec a des raisons de demeurer profondément préoccupée. “Comment cette loi pourra-t-elle être efficace face à une loi provinciale comme la loi 96 qui relègue notre communauté à une citoyenneté de deuxième classe sans recours devant les tribunaux ?” demande le président des Townshippers, Gerald Cutting.