Une adolescente montréalaise est interrogée sur son admissibilité à l’examen de conduite en anglais
Une jeune femme ayant demandé à passer son examen de conduite en anglais s’est vu opposer un refus par une succursale de la Société de l’assurance automobile du Québec, les employés affirmant que l’examen serait administré en français en vertu de la loi 96. « Les gens ne sont pas sûrs de leurs droits, de la façon de les prouver et des demandes individuelles dans ces situations », déclare Eva Ludvig, présidente du QCGN.