Les élus anglophones ont une responsabilité
Le chroniqueur du Journal de Montréal Antoine Robitaille remarque que les représentants de la communauté anglophone du Québec devraient se sentir la responsabilité de rectifier publiquement des propos scandaleux comme ceux du président de l’Association régionale des Québécois de l’Ouest qui a déclaré que le projet de loi 96 fait partie d’un “nationalisme xénophobe” qui contient des “mesures totalitaires”. M. Robitaille établit ensuite son propre parallèle scandaleux, en faisant remarquer que ne pas désavouer une telle rhétorique revient à encourager des extrémistes comme Richard Henry Bain, qui a tenté d’assassiner Pauline Marois en 2012 et qui a affirmé au procès que Jésus-Christ était son avocat.