Projet de loi 96 : un groupe de défense des droits des anglophones dénonce des détails draconiens

Si la version actuelle du projet de loi 96 est adoptée, la police linguistique pourra entrer dans les entreprises sans mandat pour fouiller les téléphones, les ordinateurs et les documents afin de s’assurer que les communications sont en français.

C’était l’un des principaux points de discussion lors de la conférence de l’organisme de défense de la langue anglaise Quebec Community Groups Network sur le projet de loi 96, le 21 juin.

Le réseau – QCGN – a déclaré que les vagues que ce projet de loi fera dans la société et la culture québécoises restent à voir, mais qu’elles auront une grande portée. “Le projet de loi 96 prévoit l’utilisation la plus radicale des dérogations aux droits de la personne dans l’histoire du Québec et du Canada”, a déclaré Marlene Jennings, présidente du QCGN, lors de la conférence.

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