Opinion : La suppression de l’anglais ne permettra pas d’atteindre l’objectif de promotion du français
« D’un côté, le gouvernement du Québec accueille à bras ouverts les organisations et institutions internationales – ainsi que leurs emplois et leurs dollars », écrit Matt Aronson, secrétaire du conseil d’administration du QCGN : « D’un autre côté, le gouvernement traite la présence de l’anglais à Montréal comme quelque chose qui doit être activement découragé et à peine toléré ».