Les parents et les étudiants anglophones doivent se mobiliser contre l’amendement au projet de loi 96, disent les éducateurs.

Le gouvernement du Québec serait plus enclin à abandonner une proposition exigeant que les étudiants anglophones des cégeps suivent trois de leurs cours en français s’il y avait un tollé plus fort de la part de la communauté anglophone, selon les dirigeants des cégeps.

« Pour un large segment de la population étudiante, il y aura un impact significatif sur leurs choix de carrière et sur leurs options », a déclaré la semaine dernière Christian Corno, directeur général du collège Marianopolis, lors d’un webinaire avec des groupes représentant la communauté anglophone.

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