Les excuses du PDG d’Air Canada ne parviennent pas à calmer les critiques sur les commentaires linguistiques.

Les excuses publiques présentées jeudi par le président et chef de la direction d’Air Canada, Michael Rousseau, au sujet de son incapacité à parler français, n’ont guère contribué à calmer la tempête linguistique qu’il a déclenchée cette semaine.

« Son attitude ne reflète tout simplement pas les valeurs de notre communauté », a déclaré la présidente du QCGN, Marlene Jennings, notant que les commentaires de M. Rousseau donnent des munitions aux partisans de la ligne dure, alors que le conflit linguistique est à l’avant-plan.

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