Le torchon brûle
L’amendement au projet de loi 96, qui assouplit l’obligation pour les étudiants des cégeps anglophones de réussir trois cours en français, est une « décision sensée » du gouvernement du Québec, qui « montre crûment que de nombreux anglophones, au terme de leur secondaire, n’ont pas acquis une connaissance suffisante du français », écrit le chroniqueur Robert Dutrisac. Il accuse ensuite le QCGN d’« attiser les craintes » entourant la loi 96.