Le Québec envisage de faire appel après qu’un juge a statué que certaines parties de la loi 40 violent les droits à l’éducation de la minorité anglophone
« Nous espérons sincèrement que le gouvernement décidera de ne pas faire appel de cette décision claire qui repose sur nos droits de gérer et de contrôler nos écoles », déclare Dan Lamoureux, président de l’Association des commissions scolaires anglophones du Québec. Le QCGN a accueilli favorablement la décision de la Cour supérieure du Québec sur la loi 40.