Le ministre de la langue du Québec affirme que le projet de loi 96 n’a pas d'”intentions cachées”.

Le ministre responsable de la langue française affirme que le gouvernement Legault n’a pas d'”intentions cachées” avec le projet de loi 96, et insiste sur le fait que le statu quo sera maintenu pour les communautés anglophones et autochtones en ce qui concerne l’accès aux services de santé et aux services sociaux.

Les critiques, dont le Quebec Community Groups Network, ont déclaré qu’en vertu du projet de loi 96, sur les 1,1 million de résidents qui se sentent plus à l’aise pour recevoir des soins de santé en anglais, 300 000 à 500 000 ne seront plus admissibles.

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