La refonte de la loi sur les langues officielles suscite des inquiétudes chez les juristes et les Anglo-Québécois
La présidente du QCGN, Eva Ludvig, explique que les associations et groupes communautaires francophones et anglophones étaient d’accord sur ce que représentait la modernisation de la loi sur les langues officielles. « C’est lorsque les demandes et les exigences du gouvernement du Québec ont commencé à être incorporées par le biais d’amendements et de la dernière version du projet de loi que les choses ont commencé à se détériorer ».