La loi 96 du Québec aggravera un déficit de compétences problématique, à moins que la province n’investisse pour le combler
« Une grande partie de la population active du Québec souffre de ce qui s’apparente à un déficit de compétences », écrit David Parkinson, chroniqueur au Globe and Mail : « La compétence en question est la maîtrise du français. Et la loi 96 menace de creuser cet écart ». M. Parkinson ajoute que les défenseurs des droits des anglophones dans la province, y compris le QCGN, sont « sans surprise, hors d’eux-mêmes » lorsqu’il s’agit de la loi 96.