« Je suis Québécoise. Point final » : Des questions demeurent pour les anglophones après l’adoption de la loi 96

Dans le cadre du projet de loi 96, les politiciens ont promis aux « Anglos historiques » qu’ils conserveraient leurs droits. Mais beaucoup se demandent comment cela va fonctionner.

« C’est limitatif, c’est insultant », a déclaré Eva Ludvig, présidente par intérim du QCGN. « Cela nie l’histoire, l’expérience, la contribution des anglophones au Québec ».

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