De nouvelles données de recensement montrant que le français est « en danger » suscitent un débat avant les élections au Québec
La vitalité de la communauté anglophone au Québec devrait être célébrée, selon Eva Ludvig, présidente intérimaire du QCGN. « Nous ne nous voyons pas comme une menace pour le Québec, nous nous voyons comme un allié de la langue française – nous la soutenons, nous l’apprenons, nous l’utilisons », dit-elle. « Mais ce n’est pas parce que nous voulons que notre identité et nos droits soient protégés que nous sommes une menace ».