Difficile pour les anglophones de se faire soigner dans leur langue
La Tribune, Gilles Fisette
(Sherbrooke) La difficulté qu’ont les anglophones d’obtenir des services de santé dans leur langue préoccupe les institutions de la région. C’est pourquoi l’Université Bishop’s et le Collège Champlain ont décidé d’agir, ont expliqué leurs responsables aux membres du Comité sénatorial permanent des langues officielles qui tenait des audiences publiques sur la situation des communautés anglophones du Québec, à Sherbrooke, mercredi après-midi et jeudi matin.
Devant le groupe de sénateurs que préside la sénatrice Maria Chaput, le principal de l’université, Michael Goldbloom, a signalé que plusieurs recherches universitaires sont orientées vers une préoccupation régionale.